Les amiEs des pingouins à Copenhague. Un film de Dominique Berger.
Partie 1
Les amiEs des pingouins à Copenhague. Un film de Dominique Berger.
Partie 1
Entre 4 et 5000 activistes ont participé à l’action Reclaim Power!
ce 12 décembre à Copenhague. Il s’agissait de pénèter à l’intérieur du
Bella Center où se tient le Cop15 pour y organiser une grande assemblée
populaire sur le changement climatique. Pour ce faire, 4 blocs
d’affinité: Le Blue Bloc; manifestation sensée rentrer en force dans le
Bella center. Le Green Bloc, groupe dont le but est de se subdiviser
pour passer les lignes de police (fingers tactic). Le Bike bloc, usant
la même stratégie mais à vélo, et enfin le yellow (inside) Bloc, des
délégués des ONGs et pays émergeants à l’intérieur du Bella center. [Rapport, photos, vidéos de médias indépendants]
Mardi 17 Novembre à 20 heures
à Corps et Logis asbl.
Ferme du Biéreau,
n°3, scavée du Biéreau, 1348 Louvain-La-Neuve
Vendredi 20 Novembre à 20 heures
à Goût d’Autre Chose asbl.
n°15, ferme de Vévy-Wéron, 5100 Wépion – Namur
L’occasion de nous rencontrer, former des groupes d’affinités, réfléchir et nous entrainer ensemble aux différentes formes d’action possibles et réactions à tous types d’imprévus,… Bref, s’organiser!
Samedi 21 novembre
au 123 , rue Royale n° 123 à 1000 Bruxelles
Dimanche 22 novembre
au Beau-Mur asbl, rue du Beau-Mur n°48 à 4030 Liège
à la ChauveSouris CSO organisée par les Ami/es des pingouins au profit de Climate Justice Action
Le COP 15 réunira prochainement « dirigeants » mondiaux, multinationales et grosses ONG pour dessiner l’après-Kyoto et tenter d’empêcher une crise climatique catastrophique. L’objectif de ce texte n’est pas de monter à bord du train fonçant des élites et de dépeindre une apocalypse imminente, encourageant les politiques basées sur la peur. Il est, en reliant les différents points que sont les différentes luttes, de faire apparaître l’image dans sa globalité. De montrer les enjeux réels des négociations sur le changement climatique, et de dénoncer ce dernier, non comme une question purement « environnementale », mais comme le symptôme qu’il est de la faillite d’un système qui nous détruit et ravage notre planète. Les « solutions » de ce système, dont on sait déjà qu’elles seront les seules abordées à Copenhague, sont basées sur le marché, afin de satisfaire les puissants lobbies des multinationales. Marché du carbone, agrocarburants, énergie nucléaire, mécanismes de « compensation »… Ces fausses solutions n’envisagent pas un instant de réduire les émissions de gaz à effet de serre directement à la source, dans nos pays industrialisés, et sont par conséquent très loin de permettre les réductions d’émissions réellement nécessaires. Elles se révèlent par ailleurs parfois extrêmement dangereuses dans leurs applications, en accroissant dramatiquement les inégalités Nord/Sud, les problèmes environnementaux et l’injustice sociale au sein des pays en voie de développement. Ces pays, ces paysan-ne-s, ont pourtant des solutions. La justice climatique, ces alternatives et solutions réelles qui viennent de la base, sont les enjeux de la lutte globale à laquelle appellent des réseaux comme CJA et CJN (« Climate Justice Network », Réseau pour la Justice Climatique, qui regroupe de nombreux groupes des pays du Sud).
http://www.youtube.com/watch?v=HFJ0vQ1nynA